
Envie de voyager entre soleil, mélancolie et lâcher-prise ? Deuxième extrait du prochain album de COURCHEVAL, C’est pas grave est un morceau qui capte l’instant fragile entre la fin d’un monde et la beauté d’un autre. Entre plages brûlantes, pluies acidulées et ciel embrasé, les paroles invitent à lâcher prise et à savourer l’instant présent.

La chanson parle de l’enfance, du passage à l’âge adulte, et de ce retour au point de départ dans la ville natale et du fait de parfois s’y sentir étranger. Elle a été écrite tout près de l’abbaye, en y marchant chaque jour. C’est donc naturellement qu’il s’est imposé comme premier single de ce live acoustique, qui comptera quatre titres au total.

jcomprendsR1 se veut être une réponse. Accepter de ne rien comprendre, ne serait-ce pas finalement un premier pas vers l’apaisement ? Dans une société où l’on nous pousse constamment à maîtriser, anticiper, analyser, faut-il réapprendre à lâcher prise ? C’est précisément dans cet état de renoncement volontaire que le morceau puise son énergie. jcomprendsR1 aborde une idée claire : parfois, ne pas comprendre permet d’avancer autrement.

Empruntant un chemin plus rock tout en conjuguant sa voix de crooner ténébreux à une production électronique nerveuse, YAN WAGNER bifurque avec High vers des sentiers big beat et psyché. Entre tension et exaltation, ce nouveau morceau confirme sa capacité à naviguer entre les genres, tout en affirmant une identité sonore toujours plus singulière et ambitieuse. Un second avant-goût puissant d’un album qui s’annonce aussi contrasté qu’hypnotique.

Avec I Don’t Wanna Know, ELEPHANZ signe un retour électrisant. Sous les beats éclatants et les mélodies épiques, c’est toute l’élégance du désenchantement moderne qui s’exprime, un hymne à la résilience, à danser autant qu’à ressentir. Après plus de 10 ans d’une success story à la française, un nouveau chapitre s’ouvre pour ELEPHANZ, et il promet d’être intense !

Quelques mois seulement après Jericho, force est de constater que l’incendie n’a pas tout brûlé. Il restait les braises — chaudes, vivantes, prêtes à repartir. Cinq titres rejoués à vif, sans décor ni effets. Comme si le groupe s’était enfermé dans un grenier avec un micro, une bouteille de vin, des ami·es et quelques fantômes. Les croquis de Jericho se réinventent en clair-obscur : dépouillés, désarmés, mais toujours électriques sous la peau.

Seven est le premier EP de LÉOPOLD RIOU. Proposant sept titres, cet opus se veut aussi épuré qu’expérimental. Hommage aux amours de jeunesse de Léopold, les couplets se chantent, les refrains se crient, l’esthétique pop résonne et se mêle à un style indie. Léopold s’est offert ce dernier plaisir rempli de nostalgie avant de tourner la page et de revenir avec un autre EP plutôt in(attendu) en 2026.

A Love for Strangers marque une véritable renaissance pour Nick Murphy. Son premier album sous le nom de CHET FAKER depuis quatre ans. À travers douze morceaux, Murphy explore la désillusion amoureuse et l’incertitude, tout en interrogeant nos façons d’entrer en relation, ou d’échouer à le faire, et en insufflant une lueur d’espoir sur la possibilité de renouer avec le monde qui nous entoure.

DOMINIQUE FILS-AIMÉ a inauguré en 2023 sa nouvelle trilogie, une collection d’œuvres introspectives et intuitives qui a débuté avec Our Roots Run Deep (2023). C’est en février 2026 que Dominique dévoilera le deuxième chapitre de ce cycle avec un nouvel album studio My World Is The Sun, annoncé par le single Going Home. Sur ce projet, elle se concentre sur l’essence même du processus créatif. Il reflète son engagement en faveur de la liberté, sonore, créative et spirituelle ainsi que son désir de créer à partir d’un lieu d’honnêteté et de vulnérabilité.

Au sein du groupe PÆRISH, nous avons tous grandi dans les années 90 avec les MTV Unplugged, ces lives où les groupes réorchestraient leurs chansons en acoustique pour proposer quelque chose de différent du reste de leur discographie. Les morceaux choisis et enregistrés pour ce live ont à la base tous été écrits à Soissons durant la période du COVID-19. Les rejouer dans la ville où ils sont nés nous est apparu comme une évidence — une manière de boucler la boucle.

Depuis une quinzaine d’années, ce groupe multiculturel (France, Autriche, Espagne…), à l’indéboulonnable romantisme européen, né des quartiers bigarrés de Barcelone, bout toujours, et distingue inlassablement le bon grain de l’ivraie. De quoi perpétuer son délicieux fumet : un esperanto musical, une musique polyglotte (anglais, espagnol, catalan, allemand…) qui carbure à l’espoir et à la passion, une énergie contagieuse, de chair et de sueur, qui fout le feu aux planchers.

Bien Cordialement est le premier EP de Michael Sajous alias MOI ET MICHAEL. Dans ces 6 titres il raconte ses déboires amoureux, ses projections ratées, ses exagérations sentimentales. Cette formule Bien cordialement résume le ton de cet EP, une phrase emplie de faux semblant et d’un sens passif agressif, qui témoigne plus d’une séparation entre deux personnes que d’une réelle cordialité.

Avant la sortie de son sixième album New Orleans Club, LYRE LE TEMPS dévoile When I Get Low, reprise d’Ella Fitzgerald, enregistrée à La Nouvelle-Orléans avec Glen David Andrews. Le titre mêle électro-swing européen et sonorités locales de la Louisianne, annonçant un futur album festif et métissé.

Trente ans après, le vice pulse toujours sous la classe. ANIMAL TRISTE réveille A Girl Like You d’Edwyn Collins avec la tension d’un film noir. Puis Marina Hands entre en scène, voix brûlante, magnétique, entre The Kills et Marianne Faithfull. Elle ne chante pas la fille du titre : elle l’incarne. Un morceau incandescent, entre désir, danger et suavité, sans nostalgie.

LA CAFETERA ROJA célèbre depuis une quinzaine d’année le multiculturalisme à travers un projet musical nourri des rencontres d’artistes venus des quatre coins de l’europe. Leur style inclassable, porté par une énergie contagieuse, se joue des étiquettes et se révèle sur scène. Ce nouveau single La Vita è Bella mêle mélancolie et positivité à travers un groove chill et lumineux, tansformant une histoire de séparation en célébration.

DOMINIQUE FILS-AIME présente son nouveau titre Going Home, marquant le début d’un nouveau chapitre pour l’artiste canadienne, lauréate notamment à deux reprises du Prix Juno Album Jazz Vocal de l’année (2020 et 2024) et du Prix Felix pour le Meilleur Album Jazz (2024). Dans ce single, elle explore un état d’esprit en mouvement, empreint de liberté et de positivité.

Avec plus de 25M d’écoutes en anglais, après l’accueil chaleureux de ses premières sorties en français dans les playlists éditoriales de toutes les plateformes, HEROE dévoile son premier EP en français, où se mêlent amour, espoir et mélancolie. À travers des textes sensibles et une cadence indie subtile, celui qui fait des chansons tristes même quand il est heureux, dessine un univers intime.

Pour elle, je pourrais écrire des livres entiers – sur les portes qu’elle a ouvertes, sur la lumière qu’elle a apportée. Mais ici, je veux simplement la célébrer : son parcours, sa grâce. Shiraz, le nouvel album de DHAFER YOUSSEF, porte tout simplement le nom de son épouse. Au delà de l’intime évident que recèle cet album, sa musique incarne le dialogue entre héritage et modernité et célébre à la fois la multiplicité et l’unité.

Publié initialement en 2005, OK Cowboy, le premier album de VITALIC, fête ses vingt ans et ressort dans plusieurs formats (double vinyle, CD, digital, 45 tours et coffret en édition limitée) agrémentés de morceaux rares et de versions inédites. OK Cowboy est un album majeur de la musique électronique, un disque charnière entre les époques.

SCRATCH MASSIVE revient avec Resurrection, un single électro percutant en featuring avec ZAMILSKA, productrice polonaise encensée par Nine Inch Nails et Iggy Pop. Un titre brut, tribal et incandescent, à la croisée de la techno, de l’EBM et de l’electronica. Après le succès de Nox Anima, le duo annonce un Olympia en février et un nouvel album pour la rentrée 2026.


Respire-moi, qui pourrait se traduire Mano nafas bekesh en persan, raconte l’histoire d’une rencontre à la fois sensuelle et virtuelle, entre un être vivant et un avatar. Cette chanson, en persan et en français, met l’accent sur la chair, fantasmée ou réelle, dans une atmosphère sombre dark-disco-électro où les repères se brouillent.


Qui arrêtera la pluie né d’un hiver sans fin au bout du Finistère, ce titre brut et mélancolique raconte un quotidien où même les couples endurcis vacillent. Toujours porté par une énergie rock, le morceau bénéficie de la production de Nicolas Quéré (Feu! Chatterton, Arctic Monkeys). Dans la drache horizontale et la brume interminable, CANCRE transforme l’âpreté en un cri viscéral.
