Riff de la nuit qui transperce les chapelles, voix grave psalmodiant les dieux sauvages et leurs contraires, Ave Satan est une chimère rock qui traverse l’enfer à toute vitesse comme si Nick Cave avait pactisé avec les Queens Of The Stone Age pour donner naissance à un rejeton hérétique, bruyant et fier de l’être.
Il lui manquait une pièce maîtresse pour monter sur scène et lancer son live. Un riff original prend forme, évoluant progressivement jusqu’à devenir un instrumental puissant, enrichi de couches percussives et sonores qui apportent une belle profondeur. L’ensemble évoque le style hypnotique de Bicep, tout en affirmant une assise dans les bas à la Drumcode.
Pour décembre, PANDAPENDU nous offre l’édition deluxe de son premier album. Satellites est enrichi de cinq morceaux qui viennent compléter l’univers insolite et coloré de l’artiste. Seize minutes supplémentaires dans laquelle nous retrouvons l’humeur décomplexée de PANDAPENDU. Retrouvez l’artiste aux OFF des Bars en Trans au bar La Trinquette le 06 Décembre.
monokini ne résiste pas à la tradition de l’album de Noël, dans les règles de l’art... de l’époque. En live, et sur bandes magnétiques bien sûr ! Avec Monokini fait twister Noël le groupe réunit des classiques revisités mais aussi de pépites d’époque... Il en résulte un album hommage au genre-même du disque de Noël, déjà bien présent dans les 60’s.
"La compilation des 10 ans du METRONUM, ce sont les coups de cœur musicaux de directeurs, de programmatrice et programmateurs de la jeune histoire du METRONUM. Ils et elles ont sélectionné un ou deux artistes emblématiques de leur histoire avec la salle. Les 10 titres présentés sont des inédits, de nouveaux mixes ou issus d’enregistrements live."Fabien Lhérisson, directeur du Metronum
QUETIER dévoile le deuxième titre de son nouvel EP. Après Don’t Bother, voici donc Crash & Burn. QUETIER continue d’explorer un territoire encore plus rock, où ses paroles intenses répondent à une basse puissante et à des guitares enflammées.
La musique de MOGWAI est difficile à décrire, mais facile à expérimenter. Elle vous maintient en l’air, en suspension et en puissance, vous rappelant que le paradis est votre droit de naissance. C’est particulièrement vrai pour The Bad Fire. Créé dans des conditions sombres, mais transcendé par l’acte des quatre musiciens travaillant ensemble ici, maintenant, dans l’instant - le seul endroit où MOGWAI existe.
Premier single de son 2eme EP à paraître, What You’re Waiting For annonce la couleur. Le titre est une bouffée d’air frais d’un rock bien à elle, avec des guitares toujours plus épiques et sa voix saisissante qui serpente et vise absolument juste. MARLENE LARSEN confirme sa patte artistique unique et se livre à coeur ouvert en sublimant les élans toxiques qui nourrissent ses frustrations.
NO MONEY KIDS signe leur grand retour avec Fireworks : un nouvel opus enregistré en partie à New York City, où le duo incontournable explore un territoire musical résolument plus rock et garage que jamais. Cet album, conçu pour la scène, célèbre la liberté et le lâcher-prise dans toute sa splendeur chaotique, rompant avec une époque où la musique live a été contrainte de se taire.
Fort de 10 titres, dont deux tubes injectés de pop où s’invitent Yelle et Jeanne Added, Nox Anima, à la production chirurgicale, retrouve la magie intacte de SCRATCH MASSIVE. Tout en emmenant un cran plus loin cette mise en trance électronique et mélancolique qui n’appartient qu’à eux, se déroule et se laisse écouter comme la bande son d’un film imaginaire, tout en tensions et rebondissements, ralentis et accélérations, palpitations et apaisements.
Avec Fièvre Humaine, la musique de ZAZA FOURNIER se transforme en pop-littéraire, tant la dimension poétique se déploie dans la force de son verbe, pour nous offrir des chansons écrites comme on peint, convoquant des images qui jouent avec nos perceptions. Un album de dix titres et deux intermèdes qui vise une essentialité, sans complaisance ni déguisement.
HEATHER NOVA dévoile son deuxième single Breath And Air, à l’aube de son 13ème prévu pour février 2025. La chanson parle de la communication, du fait que les mots peuvent facilement être mal interprétés et que lorsque cela se produit, la connexion est perdue. Il s’agit d’espérer que l’autre personne se souviendra de la vue d’ensemble, du cœur, de la confiance.
Carnaval, premier extrait de l’album à venir. Ce titre coup de poing est le reflet d’une période politique troublée, disséquée avec mordant et sans concession. GUIZ n’y lâche pas sa verve habituelle et son texte aux paroles affûtées se pose sur des nappes électro rock qui confèrent au morceau puissance et précision.
Under the Weight s’ouvre par un crescendo de cordes intense, interprétées et arrangées par Rob Lewis, collaborateur de longue date, sur lequel se pose la guitare rythmique funky – presque emblématique – de GIZMO VARILLAS. Deuxieme extrait de l’album à sortir en mars 2025, A découvrir en concert le 24 octobre au Pop-Up du Label.
Originaire des Bermudes et ayant grandi sur un voilier, HEATHER NOVA est habitée par un puissant esprit de liberté. Musique, poésie et voyages constituent son ADN. Hey Poseidon s’inspire de temps récemment passé en mer et de mythologie, ravivant en elle"un désir de tout ramener à l’essentiel: la paix, la présence, l’amour".
Illustré par Robert Combas, le nouvel album Apocalypto de SILMARILS est celui dont tous les fans rêvaient, il est désormais réalité. Dix titres mixés par Segal Huredia (Dr. Dre, Eminem, Green Day…) et déclamés par Salsedo en mode régleur de comptes. Les refrains de Apocalypto, publié sur le label du groupe, sautent aux oreilles.
It’s so fuckin’ badass, i would love to sing this song with you
Alain Johannes est une légende vivante du rock. Leur rencontre sur River of Lies est un miracle électrique spontané qui préfigure d’un 3ᵉ album à venir, intense et nocturne, comme cette tempête qui s’élève dans un clip crépusculaire aux couleurs Lynchiennes.
L’EP Eponym Part. II de VAPA (prévu pour début 2025) s’ouvre avec la samouraï du flow, Eesah Yasuke, pour une fusion audacieuse de rap et de techno mélodique. Les deux artistes brisent les frontières stylistiques pour façonner un univers unique, loin des modes passagères et des tendances éphémères.
Avec ce titre rêveur, on retrouve la force solaire de François Marry qui assume désormais d’être le seul et unique FRÀNÇOIS AND THE ATLAS MOUNTAINS. Accompagné ici par le saxophone de Thomas de Pourquery, les deux complices nous invitent à une célébration bienfaisante du moment présent.
Le trio composé de Lise.L, Anna B. Void et Alice Adjutor présente son 1er EP, imprégné du grunge des années 90 (L7, 7 Year Bitch, Babes in Toyland), de l’energie sauvage des 3 artistes et habité par un ésotérisme féministe puissant. Composé de 5 titres, cet EP est un moyen pour le groupe de s’imposer sur la scène actuelle et d’affirmer son univers et ses revendications.
Une épopée implacable, une symphonie synthétique, qui fait le point sur l’état du monde en 3 minutes et 23 secondes. L’ouverture du 4e album de Zaza Fournier pose le ton. Comment continuer à parler de soi quand tout flambe dehors ? Etat des Lieux est premier extrait du nouvel album de l’artiste, attendu pour le debut de l’année 2025.
NO MONEY KIDS est de retour avec un hymne qui fusionne l’essence du blues et l’énergie brute du rock. Avec une cadence implacable, taillée pour les stades, le refrain hypnotique se déploie comme une incantation. Avec un riff qui porte le poids des batailles intérieures, ce titre agit comme un mantra, une force tribale chargée de tension qui emporte tout sur son passage.
God Gets You Back est un retour bien calibré de MOGWAI, une chanson qui évite de se reposer sur ses lauriers après le succès de As The Love Continues (2021), numéro un au Royaume-Uni. Menée par un synthé arpégé, le titre se construit gracieusement, le batteur Martin Bulloch veillant à ce que le morceau continue d’avancer avec détermination.
Après le succès de leur dernier album, SCRATCH MASSIVE nous livre I see you up Tomorrow, premier extrait de leur très attendu prochain album prévu pour debut 2025. Ce titre est un slow de pop électronique mélancolique que l’on a envie d’écouter inlassablement, en mode repeat.
Un mois avant la sortie de son très attendu album Apocalypto, SILMARILS attaque fort la rentrée avec No Pain No Gain, en featuring avec B-Real.
L’ADN de SILMARILS est là : un riff incendiaire porté par une rythmique diablement efficace, avec un texte acéré et une interprétation vocale surpuissante. La légende du rap US B-Real (Cypress Hill), apporte toute sa classe et son énergie à ce single aux allures d’événement.
Late Fight, 3ème single de LÉOPOLD RIOU, suit l’évolution logique des deux précédents, une pop simple et sans concession. A priori, nous avons tous des moments où il semble impossible de se relever, un petit coup de down. Léopold a quelque chose contre ce mood : il regarde les compilations des plus beaux buts de Steven Gerrard. YNWA.
D’une douceur et d’une sincérité profonde, l’Adagio extrait du double concerto Le rêve de Maya pour violoncelle, accordéon et orchestre, est l’une des parties les plus lyriques et mélancoliques de l’œuvre.
NO MONEY KIDS est de retour avec une ballade émouvante. Le nostalgique et soulful Still the same est un dialogue entre le chanteur Félix Matschulat et un ami défunt, mettant en lumière une relation intime et profonde. Mais ici la tristesse se transforme en une énergie solaire, un amour rayonnant et éternel, avec l’horizon en ligne de mire.
Si MONOKINI, avec merci bisous, embrassaient l’humeur des 60s, ils adoptent pour shoubidou love la posture des anti-yéyés. C’est l’heure de s’affranchir de leurs modèles une dernière fois convoqués, pour s’autoriser d’être librement monokini : éclectique, lumineux et fantaisiste.
Après avoir sorti leur dernier album, Miscellanées Bissextiles le groupe Brestois MATMATAH dévoile sa version deluxe le 24 Mai qui comprend : Une version live du titre Triceratops, une nouvelle version de SKLOGW, une reprise de Heroes de David Bowie et une reprise de Sally Maclennane des Pogues.
Au Paradis renoue avec ce qui a fait le succès de SILMARILS au fil des ans : un son Rock, un riff imparable et un texte au cordeau, ponctué de punch lines qui font mouche. Au Paradis est un de ces morceaux qui vous touche d’emblée par l’émotion qu’il provoque. SILMARILS annonce aussi un nouvel album pour la rentrée 2024.
La rythmique puissante de Rosie se mêle aux riffs hypnotiques, tous semblant appeler un amour perdu. Comme issu d’une vhs égarée, le clip mêle mystère et poésie, souvenirs obsessionnels, images dégradées, néons et guitares vintages dans une ambiance indie filmée en Super 8.
Danse encore : c’est un refus de l’immobile et de l’essoufflement. Le titre du neuvième album de CLARIKA traduit un geste d’obstination, un désir, le vœu de rester en mouvement. Danser encore, même si le sol tremble. Sans frein, danser au-dessus de l’anxiété générale et des petits tracas. Cet album marque aussi les 30 ans de carrière de l’artiste.
Avec son 1er album Hard To Follow, Sandrine devient QUÉTIER. Cédant à la passion qui la porte depuis toujours, elle ose enfin faire de la musique son premier espace d’épanouissement personnel. Entre chansons intimistes et morceaux rock, c’est un album très éclectique que nous offre Sandrine Quétier.
Projet solo de Yann Ollivier (The Craftmen Club, Thomas Howard Memorial), PANDAPENDU naît dans ce climat incertain où l’attente d’un retour au monde était tant espéré. Parfois mélancoliques, mais toujours colorées et positives, les rythmiques font vibrer nos corps, pendant que les synthétiseurs pop s’entremêlent dans nos esprits.
Après 2 EPs et une série de singles remarqués avec des bangers explosifs dont No Rules et Toujours Trop, la musicienne, styliste, modèle et militante THÉRÈSE dévoile enfin son premier album L’Attente, avant de partir en tournée au printemps. À l’image de son parcours, sa musique est libre, engagée, métissée, populaire et exigeante.
Sous l’éclat des lumières nocturnes d’une ville agitée, une jeune femme attend son compagnon dans l’effervescence d’une fête foraine aux milles couleurs. Miroitant sous les néons, la nostalgie danse d’un rythme effréné.
Arrivés juste à temps pour les journées ensoleillées et les nuits douces, appelés le Climat Cassia par les fans les plus fidèles, le trio entre dans une nouvelle ère. Il est prêt à augmenter le tempo et à diffuser son énergie positive à l’infini, poussant quiconque entendant leur musique à se lever et à danser.
Comme une exploration de la liberté, d’une vie sur les routes, en marge, le nouveau single de NO MONEY KIDS Motel Way of Life est une invitation à la danse et un véritable hommage à leur héritage blues, revisité avec maestria pour un résultat intemporel.
Quelque part dans les sables brumeux du désert et des douces nuits d’été, vous trouverez Cassia, insufflant la vie à son monde sonore en constante évolution. Sur le point de sortir un album qui réécrit leurs propres règles, et surfant sur une vague qui les a vus exploser en tant que producteurs, Cassia a méticuleusement construit son monde depuis sa ville natale du nord de l’Angleterre jusqu’à une échelle mondiale sans précédent.