Pour décembre, PANDAPENDU nous offre l’édition deluxe de son premier album. Satellites est enrichi de cinq morceaux qui viennent compléter l’univers insolite et coloré de l’artiste. Seize minutes supplémentaires dans laquelle nous retrouvons l’humeur décomplexée de PANDAPENDU. Retrouvez l’artiste aux OFF des Bars en Trans au bar La Trinquette le 06 Décembre.

PANDAPENDU dévoile la reprise de Honey, chanson de l’artiste québécoise Marilyne Léonard. Dans cette interprétation à deux voix, se mêlent les accents cristallins de Agathe avec le chant velouté de PANDAPENDU. Fidèle aux origines indie-pop du morceau, et à sa sensibilité, PANDAPENDU transporte cette histoire de rupture dans un univers adouci et enveloppant.

Projet solo de Yann Ollivier (The Craftmen Club, Thomas Howard Memorial), PANDAPENDU naît dans ce climat incertain où l’attente d’un retour au monde était tant espéré. Parfois mélancoliques, mais toujours colorées et positives, les rythmiques font vibrer nos corps, pendant que les synthétiseurs pop s’entremêlent dans nos esprits.

PANDAPENDU nous emmitoufle ici dans une soirée réconfortante. L’hymne à chanter chez soi, en Pyjama évidemment, détente assumée et assurée, volume au max. Paroles légères, dream pop décalée, PANDAPENDU fait de la lose un certain art de vivre. Et on en redemande.

Son premier single, le bien nommé Fajitas et Parasol est inspiré d’une reprise de Lil Nas X par Noga Erez. Cette chanson décomplexée narre l’histoire d’une personne sans ambition et sans but qui, au lieu de tourner en rond dans son appartement, préfère descendre de sa tour d’immeuble pour y créer son propre spot de vacances. Un air frais et un refrain rayonnant pour ce 1er extrait du nouvel album à venir.

Projet solo de Yann Ollivier (The Craftmen Club, THM), PANDAPENDU nait dans ce climat incertain où l’attente d’un retour au monde, était tant espéré. Ovni musical, fruit de la rencontre des compos de Yann avec la plume de Maxwell Farrington et la production d’Elouan Jégat.

Sur des ondulations de synthés, on suit les déambulations d’une personne perdue dans l’imagination d’une autre vie. Ce « stream of consciousness » écrit par l’Australien Maxwell Farrington nous plonge dans des réflexions poétiques sur la jeunesse et la sensibilité de l’humanité.

＂Ruskov＂ écrit par Maxwell Farrington et Yann Ollivier parle d’une bande de jeunes excédés par le système qui les entoure. Profiter de la vie, la mordre à pleines dents sont les maîtres mots de ce morceau dream-pop dansant. Une incitation à aller à l’essentiel et ne pas se poser de questions.